De toutes les maisons que compte la paroisse, le presbytère est assurément celle qui a été la moins touchée par les obus.
Quelques égratignures dans les murailles et sur le toit, fenêtres ouvertes à tous les vents, contre-murs intérieurs dégradés dans toutes les chambres, c'est à quoi se réduisent les dommages causés par l'occupation et par la guerre.
Seul le mur extérieur de l'avant-cour et du jardin était abattu en deux ? sur une longueur de 5 ou 6 mètres.
Réf. Notes de l'abbé
Antoine Lefèbvre vers 1920